- Teresi
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Age : 22
Poème: paysage enneigé
Sam 17 Mar - 16:26
Voici le poème que j'ai fait suite au défi de m3rga (voir les annonce). Je devais le faire a partir de 5 mots,
dispersion, Jaspe, Haptique (science du toucher ) , immarcescible (qui ne s'arrête jamais) et hiémal (hivernal). Voila le résultat!
Depuis ma première heure
L'objet morne et glacé
Que l'on appelle mon cœur
Ne c'est jamais réchauffé
Passent les saisons
Passent les moments
Sans joies ni tourments
Sans folies, sans raisons
Jusqu'à ce jour hémial.
La terre elle même paraissait figé
Prise dans une couche de glace
D'une beauté bestial
Les couleur avaient disparu
Ne restait qu'un blanc nu
Engloutissant l'avenue
Tous bruit s'était tus.
Le soleil venait caresser
Cette froide douceur
Cette froide chaleur;
Son envie attisé,
Que rien ne souillait
Surprenante symphonie
Saisissante bien que sans vie
Dont le solitaire sens
N'est saisi en réfléchissant
De cette couverture de cristal
Parfaite, sans un défaut
Sort un arbre mis à mal
Un amas de rocher, un arbrisseau
Un tapis parfait
Jamais foulé
D'une blancheur immaculée
Dépourvu aspérités
Du moins au premier abord
Si on se penchait un peu
Sur ce qu'on oubliait d'abord
Au fond d'un creux
On trouvait dispersé
Comme une voie lacté
Des éclats de jaspes
Tel des écaille d'aspes
D'un rouge flamboyant
D'une gloire immarcescible,
Pour un rêve, inaccessible
Même pour le plus vaillant
Des astres sacrifiés
Dont la dispersion
Ne pouvait disgraciée
La sublimation
Au milieux du manteau blanc
Du brasier givrant
Les larmes de feu
Brillaient bien mieux
Et même au contact
De ce divin artefact
La puissante haptique
Bien qu'empathique
Ne pouvait rien faire
Pour supprimer le fer
Qui enserrait mon cœur
Et lui rendait sa chaleur
dispersion, Jaspe, Haptique (science du toucher ) , immarcescible (qui ne s'arrête jamais) et hiémal (hivernal). Voila le résultat!
Depuis ma première heure
L'objet morne et glacé
Que l'on appelle mon cœur
Ne c'est jamais réchauffé
Passent les saisons
Passent les moments
Sans joies ni tourments
Sans folies, sans raisons
Jusqu'à ce jour hémial.
La terre elle même paraissait figé
Prise dans une couche de glace
D'une beauté bestial
Les couleur avaient disparu
Ne restait qu'un blanc nu
Engloutissant l'avenue
Tous bruit s'était tus.
Le soleil venait caresser
Cette froide douceur
Cette froide chaleur;
Son envie attisé,
Que rien ne souillait
Surprenante symphonie
Saisissante bien que sans vie
Dont le solitaire sens
N'est saisi en réfléchissant
De cette couverture de cristal
Parfaite, sans un défaut
Sort un arbre mis à mal
Un amas de rocher, un arbrisseau
Un tapis parfait
Jamais foulé
D'une blancheur immaculée
Dépourvu aspérités
Du moins au premier abord
Si on se penchait un peu
Sur ce qu'on oubliait d'abord
Au fond d'un creux
On trouvait dispersé
Comme une voie lacté
Des éclats de jaspes
Tel des écaille d'aspes
D'un rouge flamboyant
D'une gloire immarcescible,
Pour un rêve, inaccessible
Même pour le plus vaillant
Des astres sacrifiés
Dont la dispersion
Ne pouvait disgraciée
La sublimation
Au milieux du manteau blanc
Du brasier givrant
Les larmes de feu
Brillaient bien mieux
Et même au contact
De ce divin artefact
La puissante haptique
Bien qu'empathique
Ne pouvait rien faire
Pour supprimer le fer
Qui enserrait mon cœur
Et lui rendait sa chaleur
- Pillico
- Messages : 152
Date d'inscription : 13/11/2017
Age : 29
Localisation : Montpellier
Re: Poème: paysage enneigé
Dim 18 Mar - 20:44
Très classe! Bravo!
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