- Teresi
- Messages : 27
Date d'inscription : 12/01/2018
Age : 22
Poème: Allégresse et Tristesse
Ven 6 Avr - 20:41
Je suis heureuse
D'une joie profonde, éternelle
Comme une gueuse
Apprenant son ascension au ciel
Je goutte à ce bonheur
Se renouvelant à chaque heure
Remplissant mon faible cœur
D'une allégresse, de chaleur.
Un bonheur si intense
Qu'il me serre le cœur,
Fait couler des larmes de bonheur
Dès que j'en ai la chance.
Dès que je me laisse aller
Dès que je rends les armes
Qui servent a protéger
Ce cœur bien infâme.
Qui ainsi se nourrit d’allégresse
Au milieu de ma détresse
Qui me noie et m’engloutit
Dès que je m’affaiblis
Pourtant je suis heureuse
Cette joie creuse
N'explique pas mes pleurs
Ma tristesse à toute heure
On a tous vécu cela
Au milieu de l'adolescence
Quand les larmes prennent naissance
Sans qu'on sache pourquoi.
Les adultes si raisonnables
Disent que c'est les hormones,
Que cette humeur instable
Et dû au changement qui trône.
Et mes larmes coulent encore
Et doucement m'asphyxie
Et cela bien que, encore,
Cette peur ne vient pas de ma vie.
Je sombre encore et toujours
Dans ce cœur plein d'amour
Et les sentiments que je ne vis pas
Tous ceux qui ne viennent de moi
Affluent
En continue
Je souffre pour tous ceux qui ne peuvent plus,
Un héritage morbide que je ne peux fuir.
Alors cette tristesse je la fais luire
Un ersatz de bonheur, comme du pus
Que j'accepte, que j'étreins
C’est tout ce que je peux faire bien
Je suis heureuse
D'une joie profonde, éternelle
Fuyant en peureuse
Toute ma tristesse et mon fiel
D'une joie profonde, éternelle
Comme une gueuse
Apprenant son ascension au ciel
Je goutte à ce bonheur
Se renouvelant à chaque heure
Remplissant mon faible cœur
D'une allégresse, de chaleur.
Un bonheur si intense
Qu'il me serre le cœur,
Fait couler des larmes de bonheur
Dès que j'en ai la chance.
Dès que je me laisse aller
Dès que je rends les armes
Qui servent a protéger
Ce cœur bien infâme.
Qui ainsi se nourrit d’allégresse
Au milieu de ma détresse
Qui me noie et m’engloutit
Dès que je m’affaiblis
Pourtant je suis heureuse
Cette joie creuse
N'explique pas mes pleurs
Ma tristesse à toute heure
On a tous vécu cela
Au milieu de l'adolescence
Quand les larmes prennent naissance
Sans qu'on sache pourquoi.
Les adultes si raisonnables
Disent que c'est les hormones,
Que cette humeur instable
Et dû au changement qui trône.
Et mes larmes coulent encore
Et doucement m'asphyxie
Et cela bien que, encore,
Cette peur ne vient pas de ma vie.
Je sombre encore et toujours
Dans ce cœur plein d'amour
Et les sentiments que je ne vis pas
Tous ceux qui ne viennent de moi
Affluent
En continue
Je souffre pour tous ceux qui ne peuvent plus,
Un héritage morbide que je ne peux fuir.
Alors cette tristesse je la fais luire
Un ersatz de bonheur, comme du pus
Que j'accepte, que j'étreins
C’est tout ce que je peux faire bien
Je suis heureuse
D'une joie profonde, éternelle
Fuyant en peureuse
Toute ma tristesse et mon fiel
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